Bernadette Cappelaere

J’ai d’abord « connu » Bernadette Cappeleare par l’évocation qu’en faisait son fils Philippe. Et ce qui l’emportait c’était le rire, la joie de leurs échanges et de leurs chamailleries enfantines. Puis je l’ai rencontrée à Nancy et la gaité était bien au rendez-vous. Accueillante, sympathique,souriante, d’aimable compagnie, je garde un excellent souvenir de mon séjour chez elle. J’adresse mes plus sincères condoléances à la famille. Sit Tibi Terra Levis , Que la Terre te soit légère Sibylle, une amie et collègue de Philippe

Les bons moments sont si précieux, je regarde les photos et j ai l impression que c était hier, des petits souvenirs magiques comme celui de te voir danser à mon mariage tout comme je vois toujours pépé danser à la maison de retraite .... Merci pour ses doux moments tata. Nos pensées vous accompagnent Philippe et ta famille et nous vous présentons nos sincères condoléances

Nous sommes profondément attristées par la nouvelle du décès de Bernadette. Nos pensées sont avec vous et avec votre famille dans ces moments douloureux. Sincères condoléances. Mireille et José Quin et Christiane Courant.

Toutes mes condoléances à toute la famille pour la disparition de Bernadette. Je me souviens de ces dimanches midi où on attendait ta venue pour le déjeuner à Montmédy. Dès que tu avais franchi le seuil de la grande maison tu apportais animation et grandes discussions avec ton caractère entier. Je me souviens aussi de nos visites à Nancy et de nos promenades au parc près de chez toi. Jean-Charles, compagnon de Séverine

Nos années de fratrie, B E R N A D E T T E, Sœur aînée de quatre années. - De fin 1939 à mi 1940 Le temps de vie particulier, de l’exode à St Béat (Pyrénées Val d’Aran), accueillis par une sœur de notre chère Maman Paulette, accompagnée de « Mémére » Mélanie. - Fin 1951 tu venais en courant à ma rencontre, de retour de Charleville où je venais de concourir pour entrer au Lycée technique François Bazin, pour me crier, tu es admis…! - Mai 1957 Alors militaire en Algérie, j’ai entendu ta voix toute heureuse m’annoncer qu’une grande marque de soins corporels t’offrait un poste d’Esthéticienne Itinérante pour représenter leurs produits. - Mai 1959 Tu es venue me rejoindre en Algérie pour faire connaissance de Sylvia, ma future épouse. - Printemps 1961, Tu es venue vivre chez nous, à Villeneuve Le Roi, en attente d’un heureux événement, pour Octobre. Ces années plus que tant d’autres, sont des marqueurs de nos sentiments heureux et de rires, que nous avons partagés, entourés d’une famille, cette fois agrandie de notre Papa Marcel revenu de captivité, et de deux sœurs, Marie Claire et Jocelyne, apportant le bonheur à ces cinq années de séparation…! Que ton âme repose dans une Paix promise. Vœux, espérance et bénédiction pour nous tous…Y V A N

Que de Souvenirs évoqués par cette grande Famille !! Pour Toi, Chère BERNADETTE …… Les Années passent, mais tous ces Souvenirs resteront à jamais. Ce Dix huit Février, ton Prénom s’affichait sur le Calendrier ( ironie du sort ). Toutes mes Pensées à PHILIPPE ……, le grand Voyageur. SYLVIA = VIVI

Toutes mes condoléances pour Cappelaere Philippe mon Cousin De la part de Cappelaere Héléna Brulez Yvana Brulez Onnig Pensées sincères envers ma Marraine Tata Bernadette.

Tata Bernard, je me souviens d'avoir passé du temps dans ton salon qui sentait bon la cire chaude, à ranger, dé-ranger, re-ranger toutes tes fioles de vernis multicolores, à observer tous tes produits Stendhal sans savoir à quoi ça pouvait bien servir tout en écoutant ma cassette de Maya l'abeille en fond sonore. Tu m'as appris qu'il fallait soigner son décolleté avant tout pour paraître jeune longtemps (je m'applique !), et que tous les politiciens étaient des cons (effectivement). Voilà mes quelques souvenir, qui vont avec la palette de maquillage que ma mère a gardé des années chez elle et qui venait de ton magasin (je pense qu'elle l'a toujours!). Je ne t'ai que peu revu depuis que j'ai commencé ma vie d'adulte, mais tu faisais partie du paysage familial, présent, sûr, établi, une ancre. Bon repos maintenant, et le bonjour à pépé et mémé et tous ces anciens, partis.

La lecture de tous ces hommages fait resurgir des souvenirs heureux qui s’accompagneront toujours de ton regard pétillant et malicieux chère tata, En ce moment douloureux mes pensées vont à toi Philippe et à ta famille, je vous souhaite beaucoup de courage et de force.

Toutes mes pensées sont auprès de vous. Je vous embrasse.